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Sommaire

branche Le Glouët

 

 

6. LE GLOUET PLOVIER

Marie-Joseph

Suzanne

Jean-Mathurin

 

5. LE GLOUET FREMONT

Jean-Mathurin

Emilie

Emilie

 

4. CADOU LE GLOUET

Alcime (1837-1898)  

Emilie (1845-      )  

Yvonne (1868, 1940)

Daniel

Denise

André   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Famille LE GLOUET PLOVIER

 

 

 

Marie-Joseph LE GLOUET et Suzanne PLOVIER résident à Guéméné-sur-Scorff.

Ils ont eu une fille, Marie Anne, née vers 1686 et morte à 2 ans, Hiacinthe Gabriel en 1787, Julie Olimpe en 1790.

Ils partent s'installer au Faouët où ils ont un fils, Jean Mathurin, né en 1793

 

Relations familiales :

Jean Jacques BELLANGER, Notable, parrain de Jean-Mathurin

 

Jeanne marraine de Jean-Mathurin 

  

Nicolas LEM..., notable, témoin au baptême de Jean-Mathurin

 

 Michel Alexis DUVAL, secrétaire de la municipalité du Faouët, témoin au baptême de Jean-Mathurin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marie-Joseph LE GLOUËT

 

 

 

 

 

Marie Joseph LE GLOUËT.

 

 

Marie-Joseph est maître d'école au Faouët. Il demeure au Faouët avec son épouse Suzanne PLOVIER.

 

Enquête ouverte :

Selon le registre de l'enregistrement des actes judiciaires du bureau du Faouët :

Un acte de notoriété a été enregistré le 2 pluviose an 11 (22janvier 1803) selon lequel dans la nuit du 20 au 21 messidor an 3 (8 au 9 juillet 1795) les chouans ont enlevé et fusillé Marie Joseph Le Gleut.

Un extrait de cet acte a été donné à la veuve le 4 avril 1807. Extrait judiciaire marie joseph le glouet

 

 

 

 

 

Or si on a bien découvert un cadavre dans la forêt de la commune de Meslun le 25 messidor an 3, il s'agit d'un certain Etienne Jamet !

 

Proces verbal          Proces verbal 1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Suzanne LE GLOUET PLOVIER

(-1841)

 

 

 

 

Marie-Anne LE GLOUËT

 

Née à Guéméné

 

 

Hiacinthe Gabrielle LE GLOUET

 

 

 

Née à Guéméné

 

 

 

 

Julie Olimpe LE GLOUET

 

 

 

 

Née à Guéméné

 

 

 

 

 

Jean-Mathurin LE GLOUET 

1792-1877

voir génération suivante

 

 

 

 

Jean-Mathurin Le Glouët.

 

 

Jean-Mathurin est baptisé le 13 décembre 1792 au Faouët (Morbihan) (Sous Louis XVI)

Il est le fils de Marie-Joseph LE GLOUET et de Suzanne PLOVIER. Son père est maître d'école au Faouët.

 

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Famille LE GLOUET-FREMONT

 

 

 

 

Jean-Mathurin Le Glouët et Emilie Clémentine Frémont se sont mariés le 25 mars 1845. Emilie était alors domiciliée à Neuilly.

Ils ont une fille : Emilie. Jean-Mathurin a 53 ans et sa Emilie 38.

 

 

relations familiales :

Auguste Paul Eugène FRONTGOUS, Capitaine trésorier à la gendarmerie, témoin pour l'acte de naissance d'Emilie (1845)

 

Maximilien Raoul BUIRETTE, Capitaine de la même gendarmerie, témoin pour l'acte de naissance d'Emilie (1845)

 

   

   

 

 

 

 

 

Jean-Mathurin LE GLOUET 

1792-1877

Portrait jean le glouet

 

 

 

Jean-Mathurin Le Glouët.

 

 

Jean-Mathurin est baptisé le 13 décembre 1792 au Faouët (Morbihan) (Sous Louis XVI)

Il est le fils de Marie-Joseph LE GLOUET et de Suzanne PLOVIER. Son père est maître d'école au Faouët.

 

http://familledelaubiervernier.e-monsite.com/medias/images/1792-acte-naissance-jean-mathurin2.jpg

 

Son parrain est Jean Jacques BELLANGER

et sa marraine Jeanne MOI...

Jean-Mathurin a perdu son père à 2 ans 1/2, vraisemblablement assassiné.Extrait judiciaire marie joseph le glouet

Il fait ses études au lycée Napoléonville.

 

 

 

ETATS DE SERVICES DANS LA LIGNE

 

En 1811, à 19 ans, Il est désigné par le ministre de la Guerre pour faire partie d'une expédition lointaine. Il quitte donc le lycée Napoléonville. Il est alors sergent. Il fait les campagnes de 1811 (du 11 décembre 1811 au 2 janvier 1812) à bord de l'Andromaque, une frégate.

Le 4 mars 1812, à 20 ans, il est sergent aux fusillés chasseurs à pied de la garde, bataillon d'instruction de Fontainebleau,

puis au 58e Régiment de la Ligne où il est successivement nommé sergent-major (19 juin 1812) adjudant sous-officier (7 février 1813) (correspondance) et sous-lieutenant (6 avril 1813), sous-lieutenant officier payeur (14 août 1813), puis lieutenant (25 octobre 1813), à 21 ans.

Il doit alors se rendre au 1er bataillon du régiment, à l'armée d'Espagne. Mais, malade, il ne le peut pas. Il est encore hospitalisé à l'hôpital St Louis le 3 décembre1813. Il est donc demandé qu'il se dirige sur Strasbourg dès son rétablissement, où 3 bataillons du 58ème régiment vont se réunir.

 

On dit de lui qu'il est infiniment recommandable, qu'ol a reçu une éducation soignée, que sa conduite est des plus régulières et qu'il est très digne de la confiance et de l'estime de ses chefs. (Lettre au ministre de la guerre)

Un sous officier zélé et instruit. (Memoire de proposition)

 

Le 18 décembre 1813, il est lieutenant et officier payeur du 58ème régiment d'infanterie de Ligne.

 

Il fait donc la campagne de 1811 à bord de l'Andromaque,

celle de 1813 à la grande armée,

celle de 1814 en France,

et celle de 1815 dans l'armée du Rhin.

 

Le 20 mai 1815 il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur par l'Empereur.

Il est alors lieutenant au 54ème régiment d'infanterie de Ligne.

 

Le 15 septembre 1816 il rentre dans ses foyers, en 1/2 solde, par suite de licenciement des officiers comptables du 58e de ligne.

Le 24 décembre 1817 il reprend du service en qualité de lieutenant au 3e bataillon de la légion de la Meuse par décision ministérielle. Il a 25 ans

Le 12 avril 1819 il passe dans la légion de la Seine, 3e bataillon.

 

Le 10 septembre 1819 il est nommé Chevalier de l'Ordre Royal de la Légion d'Honneur (par le Roi Louis XVIII). 

Cet honneur lui a été donné au château de Tuileries.

Il est alors lieutenant à la Légion de la Seine.

 

Le 5 octobre 1820 il est mis en congé de semestre par décision ministérielle. A partir du 11 décembre 1820 il est mis en disponibilité. Il a 28 ans.

 

Le 5 mai 1821 il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Il est alors colonel.

 

ETATS DE SERVICES DANS LA GENDARMERIE

Le 10 mars 1831, à 39 ans, il est nommé lieutenant dans la garde municipale de Paris (par ordonnance) pour prendre rang du 6 septembre 1830.

Il est mis à l'ordre comme s'étant distingué dans les journées des 5 et 6 juin 1832.

Le 8 juin 1832 il est promu capitaine adjudant major d'infanterie dans la garde municipale de Paris.

Le 2 octobre 1832 il passe capitaine d'infanterie dans le même corps.

Mis à l'ordre comme s'étant distingué dans les journées des 13 et 14 avril 1834.

 

En 1838, à 46 ans, il ecrit une lettre pour demander à passer dans la cavalerie.(correspondance)

Le 15 décembre 1838 il devient capitaine commandant la 33e compagnie à cheval par décision ministérielle.

Le 1er juillet 1841 il quitte le corps pour commander comme chef d'escadron de la compagnie de gendarmerie du nord ( par ordonnance).

Et le 31 mai 1842 il est nommé chhef d'escadron de la compagnie de la Seine par décision ministérielle.

 

Le 14 avril 1844 il est promu au grade d'Officier de l 'Ordre Royal de la Légion d'Honneur par le Roi Louis-Philippe.

Il a 52 ans et il est alors chef d'Escadron commandant la compagnie de gendarmerie de la Seine.

 

Le 27 mars 1848, à 56 ans, il est promu lieutenant colonel et est désigné pour commander la 16e légion de Gendarmerie à la résidence de Marseille (par décret). Il part le 21 mai à Paris.

Le 16 janvier 1849 il quitte la 16e légion pour prendre le commandement de la 3e légion de gendarmerie à Rouen, par décision ministérielle.

Le 27 avril 1850 il obtient le grade de colonel (par décret)

 

Le 10 décembre 1851il est nommé au grade de Commandeur dans l'Ordre National de la Légion d'Honneur par le Président Louis-Napoléon Bonaparte.

Il a alors 59 ans et est colonel, chef de la 3e Légion de gendarmerie.

 

Le 2 février 1853 il est nommé commandant de la place de Belfort (par décision impériale).

En mars 1853 il quitte la gendarmerie (journal de la gendarmerie).

"Officier supérieur d'une grande distinction, M. le colonelLe Glouët avait su, par seslongs et excellents états de service, par la noblesse et l'affabilité de son caractère, se concilier l'estime générale et l'affection de ses subordonnés, et c'est avec le plus vif regret qu'on l'a vu s'éloigner d'une arme et d'un commandement où il laisse les souvenir les plus honorables.

 

Le 22 novembre de la même année il est nommé au commandement de la place de Thionville (par décision impériale).

 

Le 12 Août 1857 il est décoré de la médaille de Ste Hélène par décret impérial.

Enfin le 28 juin 1858, à 60 ans, il est admis à la pension des retraites, rayé le 15 juillet.

 

Voir tous les documents relatifs à sa carrière militaire

 

Jean Mathurin épouse Emilie Clémentine FREMONT le 25 mars 1845. Emilie était alors domiciliée à Neuilly.

Jean-Mathurin a 53 ans et Emilie 38.

Ils ont une fille, Emilie, cette même année 1845.

A été promu chevalier de la légion d'honneur le 3 octobre 1814,

                        officier de la légion d'honneur le 14 avril 1844,

                        commandeur de la légion d'honneur le 10 décembre 1851

retraite, états de service

Décédé en juin 1877, à l'âge de 85 ans

 

 

 

 

Jean le glouet

Il semble qu'il y ait plusieurs copies de ce tableau : Jacques Mahoudeau m'a dit avoir vu le même chez une cousine.

 

 

 

 

 

 

 

1812 signature jm le glouet

 

 

 

 

 

 

 

Les documents relatifs à Jean-Mathurin Le Glouët ont été obtenus par Jean Lardeux et Jacques Mahoudeau.

 

 

 

1807-

 

 

 

 

 

Emilie FREMONT

épouse LE GLOUËT

 

 

Emilie Clémentine FREMONT

 

 

Emilie est née le 16 décembre 1807 à 4h de l'après-midi à Barc en Bernay, dans l'Eure, au domicile de damoiselle Catherine Mélanie de CAQUERAY.

Son père est Auguste FREMONT, officier de Dragons, 7e régiment,

sa mère est Emilie ...(HOSTER ?) . Elle est domiciliée à Paris, Isle St Louis.

 

Acte de naissance

1807 acte de naissance emilie clementine fremont

 

Sont présents Joseph Alexandre DELANOE, propriétaire domicilié à Barc, et Pierre Modeste LION, domestique domicilié à Barc.

 

Emilie FREMONT épouse Jean Mathurin LE GLOUET le 25 mars 1845. Emilie était alors domiciliée à Neuilly.

Jean-Mathurin a 53 ans et Emilie 38.

Ils ont une fille, Emilie, cette même année 1845.

 

 

 

Pension de veuve

1892 pension de veuve emilie clementine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

 

 

Emilie LE GLOUET

épouse CADOU

 

Voir génération suivante

 

 

1 audio

 

 

Emilie naît au domicile de ses parents, à Paris, sur Barbette n.3, 8ème arrondissement, le 28 décembre 1845 à 4h du matin.

Son père, Jean-Mathurin Le Glouët, a 53 ans. Il est chef d'escadron commandant la compagnie de la gendarmerie de la Seine, Officier de l'Ordre Royal de la Légion d'Honneur. 

Sa mère,  Emilie Clémentine FREMONT, a 38 ans.

Acte de naissance d’Emilie

 

A 11 ans, en 1856, elle entre comme élève à la Maison Impériale Napoléon de Saint Denis.

Scolarité :

 

 

Elle fait sa première communion le 22 juin 1858, à 13 ans, dans l'église de la Maison Impériale Napoléon.

 

 

Elle vit avec ses parents à Versailles, 8 rue Montbauron, jusqu’à ses 23 ans, âge de son mariage avec Alcime Cadou.

Emilie épouse Alcime Cadou, de 8 ans son aîné, le jeudi 10 décembre 1868 (contrat de mariage passé chez Maître Lentaigne, notaire à Paris).

 

Les parents d'Emilie sont présents à son mariage, ceux d'Alcime ne peuvent pas être là car ils vivent à la Guadeloupe.

Etaient présents, entre autre, FAVROT, le cousin germain d'Emilie, Auguste NOEL un ami et voisin d'Emilie.

 

Alcime et Emilie ont 4 enfants : Yvonne, Daniel, Denise et André.

 

A 77 ans, en 1922, elle devient débitante de tabac à Clichy.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Date de dernière mise à jour : 02/02/2022

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